Deux ans ont passé depuis l’avis d’éviction. Les jeunes et leurs parents ont tous dû déménager. Mélissa, Karine et Eddy entament chacun leur dernière année fatidique du secondaire. Mais la route vers leur graduation est loin d’être simple, alors qu’ils doivent tous jongler avec les difficultés liées à l’adolescence, la dure estime de soi, l’angoisse des responsabilités grandissantes, tout ça dans un quartier marqué par la violence et la précarité.
Cette deuxième saison se penche justement sur ce moment crucial où un adolescent bascule, parfois trop vite et peut-être pas encore outillé, dans le monde adulte…
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Équipe Technique
PRODUIT AVEC LA PARTICIPATION FINANCIÈRE DE « Je voudrais qu’on m’efface est certainement à classer parmi ce qui s’est fait de mieux en fictions québécoises ces dernières années. » – Normand Provencher, Le Soleil « Dans la deuxième saison, Jean-Nicolas Verreault est particulièrement admirable de justesse » Marc Cassivi, La Presse « C’est excellent. » – Jean-Philippe Wauthier, Bonsoir Bonsoir!, ICI TÉLÉ « On aime cette réalisation et son sent que ce réalisateur aime son quartier. J’ai aimé les enjeux dont on parle, notamment les armes à feu. On comprend très bien comment ça peut se passer. Ça vaut le détour. » Thérèse Parisien, C’est juste de la tv, ICI ARTV « Une série dure, mais très, très précieuse » – Claudia Hébert, Dessine-moi un matin, ICI PREMIÈRE « Anglesh Major brille à nouveau dans la deuxième saison » – Stéphane Leclair, Culture Club, ICI PREMIÈRE « Une série très touchante et portée par une distribution d’une grande justesse. » – Caroline Fortin, Mitsou Magazine « Jean-Nicolas Verreault est formidable. Une formidable série. » – Marie-Louise Arsenault, Tout peut arriver, ICI PREMIÈRE « Coup de Coeur. C’est phénoménal ! » – Isabelle Racicot, Y’est 4h quelque part, RYTHME FM « Une série magnifique. Bouleversante de vérité. Bravo à Julie Perreault, une performance d’exception. » – Katia Gagnon, Journaliste et chef de la division enquêtes du quotidien, LA PRESSE « Les gens vont finir par penser que je suis payée pour dire à quel point Je voudrais qu’on m’efface c’est bon. Sérieusement, je ne suis pas capable de dire le titre de cette série-là sans dire que c’est extraordinaire. » – Pénélope McQuade, Pénélope, ICI PREMIÈRE « Autant que c’est dur à regarder, autant je suis heureuse qu’au Québec on fasse des séries comme ça. C’est tellement important de voir aussi ces réalités-là et de les apprivoiser. Ça fait oeuvre utile. » – Véronique Hivon (Ancienne députée de l’Assemblée Nationale du Québec), On va se le dire, ICI TÉLÉ
Scénaristes Florence Lafond, Eric Piccoli
Producteurs Marco Frascarelli, Eric Piccoli, Félix Rose, Philippe-A. Allard
Adapté du roman « Je voudrais qu’on m’efface » d’Anaïs Barbeau-Lavalette
Une série originale par Babel films
Radio-Canada
Fonds Bell
Fonds indépendant de production
Crédit d’impôt provincial
Crédit d’impôt fédéral
Direction de la photographie Philippe St-Gelais
Direction artistique Fanny Gauthier
Cheffe au maquillage Marianne Pelletier
Cheffe à la coiffure Adèle Lavoie
Créatrice des costumes Perle Lefebvre
Preneur de son Thierry Bourgault D’Amico
Monteur sonore Thierry Bourgault D’Amico
Mixeur sonore Michael Binette
Monteurs Justin Richard Dostie, Eric Piccoli
Coloriste Benoit Côté
Musique originale Joseph Marchand
Coach de jeu pour les enfants Ariane Castellanos
Distributrice des rôles Marie-Charlotte AubinCasting
Malik Gervais-Aubourg
Sarah-Maxine Racist
Julie Perreault
Jean-Nicolas Verreault
Schelby Jean-Baptiste
Anglesh Major
Shawn Edme
Hélène Florent
Ted Pluviose
Marie-Evelyne Lessard
Roberto Mei
Jocelyn Bruno alias Dramatik
Jade Barshee
Mireille Métellus
Souldia
Jaden Damian Latry
Jonathan St-Armand
Perle DesjardinsSélections en Festivals et Prix
Revue de Presse